« J’espère que Fillon va rester »
Etiez-vousvenueicienconquête, etavez-vousétésurprisedel’accueil ? D’abord, jemesens partoutchezmoi! Et jene mesenspasenterrainconquis. Nousavons étéaccueillisextrêmementchaleureusement, c’est vrai. Enmêmetemps, nousfaisonsdes scores très hautsdanscetterégion. Et j’espère quenousferonsencoremieuxàla présidentielle.
Seriez-vousprêteàtravailleravecdes élus azuréensissusdesRépublicains ? Je veuxouvrirmongouvernementd’union nationaleàdesgensquiontsincèrement compris ce qu’est lepatriotisme. Et jesuis convaincue qu’auseindesRépublicains, énormémentdegensontcomprisquenous devions retrouver notreliberté par rapportà l’Europetelle qu’elle est.
Vousseriezdoncprêteàensortir, etàsortirdel’espaceSchengen? Il faut toutdesuitesortirdeSchengen! Onne peutplus laisserouvertesles frontières. Il faut les maîtriser, savoir qui vientcheznous, exigeruneautorisationpouryentrer. Et quandonleurdemandedepartir, il faut qu’ils partent.
Commentdénoncer les affaires qui touchent les autrespartis, quandvousrefusezde restituer € àl’UE? Notresituation n’astrictementrienàvoir! Ilnes’agit nidetravail fictif, nid’enrichissement personnel, mais d’uncombatpolitiqueque nousmèneM. Schultz [l’ancien présidentdu Parlementeuropéen, ndlr]. Et j’ai saisi la justice pourfairevaloirmesdroits.
Unéventuel retraitdeFrançois Fillonvous ouvrirait-elleunboulevard? Je crois au contraireque c’est en restantqu’il m’offreunboulevard! C’est pourquoiDavid Rachline, mondirecteur de campagne, David Rachline, est allé signer la pétitiion “Fillon, tiens bon”. Quandonafaceàsoiuntel candidat, onn’espère qu’une chose: qu’il reste.