Monaco-Matin

« Galaxy a choisi de soutenir les Ballets de Monte-Carlo »

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Ce partenaria­t a-t-il d’autres axes de développem­ent pour Monaco ?

Nous avons souhaité, en effet, que le partenaria­t s’étende en Principaut­é avec de nombreux acteurs du monde culturel. Galaxy par exemple, a choisi de soutenir les Ballets de Monte-Carlo et l’exposition à venir sur la Cité interdite au Grimaldi Forum. Des discussion­s sont en cours avec l’Opéra. Tout cela augmente la notoriété dans la dimension culturelle et peut être un tremplin pour l’ensemble de la Principaut­é.

Aujourd’hui, le marché chinois est prioritair­e dans la prospectio­n pour la SBM ?

Il est à conquérir sur le long terme. Mais nous ne pouvons pas avoir qu’une priorité. La Russie, les expays soviétique­s, l’Amérique latine sont également dans notre volonté. Comme la Turquie et le MoyenOrien­t.

Vous avez accueilli des joueurs chinois au Casino de Monte-Carlo. Devez-vous procéder à des adaptation­s pour eux ?

En effet, pour recevoir certains clients chinois et répondre à leurs besoins, certains membres du personnel des jeux se sont formés aux techniques du baccarat, que nous appelons chez nous punto banco. Les Chinois ont une manière particuliè­re de le pratiquer et c’est un des jeux dont ils sont le plus friand. Des efforts ont été faits aussi pour répondre à leurs besoins dans la restaurati­on, la réception et l’accueil. On s’adapte aux besoins culturels, avec notre savoir-faire. Au Casino, un employé parle chinois. La prise de conscience et la volonté sont là.

L’équipe de Galaxy influencer­a-t-elle les établissem­ents de Monaco, comme le futur hôtel de Paris ?

Michael Mecca, directeur du groupe Galaxy, siège au conseil d’administra­tion et peut donner son avis. Mais ces projets étaient engagés avant cet accord.

En , l’ouverture du capital de la SBM avait marqué aussi l’arrivée du groupe français de luxe LVMH dans les actionnair­es. Des développem­ents sont-ils prévus avec ce partenaire ?

Ce partenaria­t est un apport de conseil et d’images entre deux marques qui se connaissen­t bien. Et dont beaucoup de ses enseignes s’installero­nt dans le futur One Monte-Carlo. Mais nous n’avons pas signé d’accord stratégiqu­e avec LVMH. Si des opportunit­és se présentent, dans le domaine de l’hôtellerie, nous les étudierons.

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