L’Institut Universitaire du Sein et de Cancérologie Gynécologique remplace la Clinique du Sein au CAL

Acteur majeur de la prise en charge des cancers de la femme en ProvenceAlpesCôte d’Azur, le Centre Antoine Lacassagne a ouvert cette semaine l’Institut Universitaire du Sein et de Cancérologie Gynécologique (IUSCG) en remplacement de la Clinique du Sein créée en . L’IUSCG, dont les objectifs consistent à améliorer la qualité et la cohérence de prise en charge, regroupe les spécialités indispensables pour détecter, prendre en charge et suivre les femmes atteintes d’un cancer du sein et de cancers gynécologiques. L’IUSCG regroupe le plateau de radiologie de la femme (mammographie, échographie) pour le dépistage, la radiologie diagnostique et la radiologie interventionnelle ; les consultations médicales (anesthésie, chirurgie, oncologie médicale, radiothérapie) ; les consultations des infirmières de coordination ; la colposcopie et les consultations d’hystéroscopie diagnostique. Les femmes pourront également être reçues lors de la Journée Accueil Sein, Senoday. Concrètement, une patiente adressée par son médecin traitant pour une anomalie radiologique mammaire bénéficie d’un diagnostic en «  jour », avec résultats cytologiques remis en fin de journée et communiqués par courrier à son praticien. Et une patiente ayant un cancer du sein déjà prouvé histologiquement pourra être prise en charge (toujours en «  jour ») pour un bilan préchirurgical incluant un complément d’investigation radiologique et différentes consultations préalables à la chirurgie. « Avec l’ouverture de l’Institut Universitaire du Sein et de Cancérologie Gynécologique, nous poursuivons notre effort d’amélioration de la prévention et de la prise en charge dans le domaine du cancer de la femme, expliquent le Pr Emmanuel Barranger, chef du pôle de chirurgie oncologique générale, gynécologique et sénologique et le Pr Jean-Marc Ferrero, référent oncologie sénologie.

Mais cet Institut aura également une mission d’enseignement et de recherche spécifique à la pathologie cancérologique de la femme »