Femmes de l’année
Jeudi soir, la Principauté a célébré celles qui oeuvrent chaque jour pour bâtir un monde meilleur
Elles étaient toutes réunies jeudi soir à l’Indigo pour la traditionnelle remise des Prix Monte-Carlo Femme de l’année 2 017. Cent soixante convives s’étaient rassemblés, en présence de Marie-Pierre Gramaglia, conseiller de gouvernement-ministre de l’Équipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme, Anne Eastwood, Hautcommissaire à la protection des droits et des libertés, Nathalie Amoratti-Blanc, conseiller national et présidente de la Commission du droit des femmes et de la famille, ou encore Ornella Barra, vice-présidente de Walgreens Boots Alliance, qui sponsorise l’événement. Chaque année, la thématique est différente. Après les femmes et la technologie en 2016, la commission a décidé d’honorer celles qui défendent les droits des femmes. Tout un programme en ces temps où l’égalité des sexes est au coeur de tous les débats. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans ce domaine, elles sont nombreuses à oeuvrer. Et de manière spectaculaire et reconnue. « Nous avons reçu énormément de candidatures, explique Cinzia Sgambati-Colman,
fondatrice de l’événement. Nous avons eu beaucoup de mal à les départager. »
Toute la beauté de la chose réside dans le fait que ce ne sont pas ces femmes qui postulent, mais des ambassadeurs et ambassadrices, situés partout dans le monde, qui les repèrent. Et parfois, ce sont même les entourages de ces dames qui proposent leur candidature.