Monaco-Matin

Ses phrases

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Mes joueurs, je les paie plus cher que mes maîtresses. Mais mes maîtresses, au moins, elles me régalent la chique. ”

En , après une prestation décevante des siens.

Pedretti a tout commandé sur le terrain, mais celui-là, quand il viendra à Montpellie­r, on va s’en occuper. Ce type est une petite tarlouze. ”

En , après un match contre Auxerre.

Je me mets à la place du président de Paris qui a un budget de je ne sais pas combien. Quand il voit celui de Montpellie­r, il doit se poignarder le cul avec une saucisse, le mec. Et encore avec une saucisse, ça ne fait pas trop mal. ”

En , en parlant du PSG de Robin Leproux, mal classé.

Je préfère Courbis à Ancelotti ! Les grands entraîneur­s sont ceux qui gagnent des titres avec des demi-bons. Avec Courbis, on est monté en Ligue  avec des demi-mongoliens. ”

En , lorsqu’il commente l’arrivée de Carlo Ancelotti à Paris.

“Ne

nous cassez plus les couilles avec la

e place, la e, l’Europe, la Ligue des Champions. On est content de finir

e, point barre. Si on est champion de France, vous nous ferez des pipes, d’accord. Mais là, laissez-nous tranquille. ”

En mars , trois mois avant le titre de champion, il chasse la pression.

En Ligue , le seul joueur qui m’impression­ne, c’est Jérémy Ménez, du PSG. C’est dommage qu’il n’ait rien dans le ciboulot, car il a un Pastore et un Hazard dans chaque jambe. ”

En .

Je ne lui en veux pas, c’est un mec bien, mais je pense que j’ai fait une connerie. ”

En , au sujet du recrutemen­t de Jean Fernandez comme coach, alors que son équipe n’avance pas.

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