Les réactions politiques

Christian Estrosi, maire de Nice

D’innombrables Niçois, et tant d’autres Français, se sont reconnus dans son travail d’historien et de romancier, adversaire du fascisme, attaché au petit peuple, fasciné par la grandeur de la France. Max Gallo, c’était aussi une puissante incarnation de la République, celle qui intègre les enfants dont les parents ont choisi la France par amour, celle qui donne sa chance à tous les élèves appliqués de l’école publique, celle qui accorde ses plus grands honneurs au talent et au mérite (...) Dès [aujourd’hui] les drapeaux seront mis en berne sur tous nos édifices publics. Et c’est dans cet esprit que je demanderai au conseil municipal de dédier une voie de notre cité au beau souvenir de ce grand homme de culture et de savoir, dont la vie nous a tous honorés et dont l’absence nous est désormais si cruelle.

Eric Ciotti, président du Département

À l’heure où certains se complaisent à dénigrer notre pays et son histoire, Max Gallo a mieux que quiconque célébré la France éternelle, son identité et ses grands hommes. Jamais, alors qu’il accédait aux plus hautes responsabilités nationales, il n’a oublié ses racines niçoises et populaires.

David Lisnard, maire de Cannes

Il a toujours placé la France au-dessus de toute considération idéologique. Fils d’immigré, il avait avant tout la fierté d’être Français, l’amour de notre pays et de sa langue.