Pascal Gentil: «Notre initiative est indispensable en temps de conflit»
L’ancien champion de taekwondo ne dissimule pas son enthousiasme à l’idée de retrouver les terres africaines pour promouvoir la paix dans un pays en proie aux tensions politiques et économiques. Pascal Gentil a décollé, dès hier soir, pour le Burundi afin de s’imprégner du contexte local.
Avez-vous hâte de participer à l’organisation des Jeux de l’amitié de Peace and Sport auprès de Jean-Baptiste Alaize et Jean-François Tordo ? Notre initiative est indispensable en temps de conflit sur place. Les jeux de l’Amitié sont un vecteur de paix entre plusieurs ethnies et populations à travers des épreuves sportives. Je me réjouis de soutenir un très bon camarade comme Jean-Baptiste Alaize – rencontré à l’INSEP – sur ses terres. « Mon rôle d’ambassadeur pour Paris traverse bien des frontières » Pourquoi vous êtes-vous engagé auprès de Peace and Sport ? M’impliquer dans les initiatives en faveur de la paix défendues par la Principauté me paraît essentiel. La proximité que j’entretiens avec Jean Bouzou, le président de l’association sportive et le Souverain m’ont convaincu de faire don de mon expérience et de mon énergie depuis pour les enfants qui en ont le plus besoin.
Votre présence au Burundi ne sera pas sans faire écho à votre rôle d’ambassadeur des JO de Paris ? Mon rôle d’ambassadeur pour défendre la candidature de notre pays traverse bien des frontières. Ces jeunes représentent les espoirs de paix de demain. Nous nous devons de leur donner les clés pour réussir ce challenge.