Pavillon de Monaco à Astana: choses à retenir
Les partenaires et sponsors rassemblés par Monaco Inter Expo, hier matin, ont tiré un bilan très positif de l’exposition Astana 2017 avec, notamment, de belles récompenses
Une salle de réunion pleine, rassemblant nombre de partenaires et d’institutions monégasques… Hier matin, Albert Croési, directeur général de Monaco Inter Expo, a accueilli avec soin les protagonistes de l’aventure Astana Expo 2017. Il a remercié d’emblée Évelyne Genta, ambassadeur de Monaco en République du Kazakhstan, « sans qui nous ne serions pas arrivés à grand-chose ». Les mêmes mots ont été lancés par Évelyne Genta à l’endroit d’Albert Croési… À l’unisson, tous deux ont rassemblé leur enthousiasme et convaincus les partenaires et sponsors, parmi lesquels la Fondation Prince Albert II, la Croix-Rouge monégasque, la mairie de Monaco, le MEB, la DTC, la SMEG et la CMB. Alors ensemble, et avec tous leurs moyens, ils ont réalisé de belles performances. Les voici résumées.
Une médaille de bronze
Derrière l’Azerbaïdjan et le Qatar, Monaco a été primé à la troisième place dans la catégorie du design pour les pavillons entre 400 m2 et 700 m2. Le pays s’est vu également décerner, par Exhibitor magazine, le trophée du Best small pavillon. Et la Principauté a enfin été classée, par Best Events Award, premier prix dans la catégorie des foires et troisième prix dans la catégorie des événements culturels.
visiteurs
Le pavillon Monaco a accueilli plus de 250 000 visiteurs sur 93 jours, soit 7,5 % du nombre total de visiteurs à l’Expo. Un pic de fréquentation a été atteint le 9 septembre avec 3 837 visiteurs. Le salon VIP a accueilli plus de 350 personnalités et 15 événements privés.
Des VIP
Le prince Albert II, la princesse Stéphanie et sa fille Camille, ainsi que le président du Kazakhstan étaient présents à la journée nationale.
Une vitrine médiatique
Plus de 70 articles ont été publiés et 32 vidéos ont été réalisées sur le pavillon Monaco.
Une seconde vie
L’installation principale a fait l’objet d’un don et aura une « deuxième vie » dans la capitale culturelle du Kazakhstan, à Almaty.