L’amour est dans le pré s’invite à La Réunion
Divertissement L’émission phare de M6, présentée par Karine Le Marchand, est de retour avec la diffusion des portraits de la saison 13
L’ émission L’amour est dans le pré revient pour une treizième saison inédite. M6 diffuse dès ce soir la première partie des portraits des quatorze nouveaux participants. Deux femmes et douze hommes qui cherchent l’amour, dont Raoul, qui habite à La Réunion, ou Thomas, deuxième participant gay de l’émission.
L’amour est dans le pré amorce sa treizième saison. Une longévité qui n’exclut pas les nouveautés. Pour la première fois, l’émission accueille un agriculteur qui habite en dehors de l’Hexagone. Raoul, 36 ans, est en effet originaire de l’île de La Réunion. Une particularité qui va quelque peu changer les choses, logistiquement parlant, pour la production. Cette dernière doit ainsi faire venir l’éleveur de taurillons à Paris pour le speed-dating, puis envoyer ses deux prétendantes sur son île (sauf si l’une d’entre elle est également originaire de là-bas). Dans cette saison 13, les téléspectateurs découvriront également Thomas, le second agriculteur gay du programme. « Il est beau comme un dieu, on dirait Jean Dujardin ! », s’enthousiasme Karine Le Marchand, l’animatrice. « C’est le premier ostréiculteur de l’émission. Il travaille sur son bateau et fait de la vente sur les marchés. Il est très sociable et cherche quelqu’un qui le suivra dans sa profession. » Seules deux femmes participent au programme, Aude et Aurélia. Et, comble du hasard, elles ont toutes les deux été professeur d’anglais avant d’embrasser la carrière d’agricultrice ! « Elles sont filles d’agriculteurs, mais, pendant un temps, elles ne voulaient pas reprendre la ferme. Quand Aurélia est devenue maman, elle a voulu faire profiter à ses enfants de la vie qu’elle avait connue dans son enfance. Elle a même ouvert une ferme pédagogique. » D’autres participants devraient aussi faire parler d’eux, comme Daniel, un homme au coeur tendre, éleveur de vaches allaitantes, ou Émeric, 32 ans, pépiniériste et apiculteur : « Il est beau, drôle, sympa et intéressant. C’est un grand sportif et un grand vanneur », note Karine Le Marchand. Sans oublier, Patrice, 50 ans, le premier osiériculteur-vannier du programme. « Il a besoin d’être rassuré. C’est un ancien bouc émissaire. Il lui faut une femme douce et gentille », conclut-elle.