« Le chantier des Sablettes devient bien trop important»
Pour dégager de l’investissement, la ville a décidé de vendre plusieurs biens communaux pour près de millions d’euros comme les terrains du Haut-Careï (, millions d’euros), l’Hôtel Adhémar de Lantagnac (, million), les locaux de l’Euryale ( euros), la villa des Guillons ( euros)... Des opérations critiquées par l’élu d’opposition, Philippe Briand. « On cède de nombreux terrains et on injecte l’argent récolté à une seule chose : l’aménagement de surface des Sablettes. Ce chantier est important, mais il devient bien trop important.» Et Nicolas Amoretti, premier adjoint, de justifier ces ventes : « Nous n’avons pas les moyens d’entretenir tout le patrimoine de la commune. » L’élu cite un exemple significatif : « Le plancher de l’Hôtel Adhémar s’effondre et la réhabilitation des peintures est beaucoup trop chère. Cette vente a été clairement réfléchie et permettra de réaliser un hôtel de charme de sept à huit chambres. Concernant le Haut-Careï, rappelons que cette vente permettra de réaliser des logements sociaux. »