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« J’ai regardé des essais de speakerines, des petites jeunes filles maladroites venant de leur province, raconte Marie Gillain. Le parler était beaucoup plus lent, bienveillant. L’accent parisien n’était pas le même non plus. Et, en cas d’angoisse, on gérait les choses différemment : aujourd’hui, on a tendance à avoir un débit rapide, à l’époque il restait posé. »