Une enquête interne
En mairie, c’est Lauriano Azinheirinha, directeur général des services, qui réagit : « Nous avons pris connaissance d’un recours gracieux d’une danseuse au mois de février. Aucune alerte n’avait été faite auparavant sur un éventuel problème dans ce service. Conformément à la demande de Christian Estrosi lorsqu’il s’agit de sujets liés à la dimension humaine, les propos de cette danseuse sont pris au sérieux même si la véracité de ceux-ci n’est aujourd’hui pas vérifiée. Aussi, une enquête interne a été lancée dès que nous avons eu connaissance de ces propos et avant la parution de tout article de presse. Cette enquête est encore en cours. Compte tenu de la gravité des accusations, la Ville lance également une enquête de l’inspection générale des services. Chacun des agents concernés sera entendu dans le strict respect de toutes les parties. Sur un autre plan, la Ville souhaite rappeler que le ballet de Nice, qui n’existait plus en , et dont Christian Estrosi a oeuvré pour le retour, participe au rayonnement international de Nice et qu’Éric Vu-An y a pris toute sa part. »