Le point sur les secteurs porteurs
● À Nice, la Fnaim conseille toujours la plaine du Var, avec son écoquartier. « Il est en perpétuel mouvement. Dès qu’il y aura plus de vie sociale, plus de commerces, le tram’, il y aura une affluence de gens du centre-ville qui vont venir ici. Nous pensons sincèrement que le prix au mètre carré montera. Il est encore temps de miser dessus pour un investissement à moyen terme. Vous avez des commodités dans ce quartier, vous êtes à deux pas de l’autoroute, à une demi-heure de tout le département. Le secteur offre beaucoup d’atouts. » ● À Nice toujours, l’avenue Georges-Clemenceau : « C’est très central, juste à côté du quartier des Musiciens, proche de la gare, et reste un secteur très abordable. Nous venons par exemple de vendre un studio de m à euros. » ● Le secteur de l’ancien stade du Ray (photo), en restructuration, est également porteur selon la Fnaim. ● À Cannes, c’est le secteur de la République, derrière la quatre voies, qui retient l’attention de la Fnaim : « Ce sont des quartiers en devenir car pas très loin du bord de mer, mais à des prix abordables au m².» ● À Cagnes-sur-Mer, les professionnels conseillent de regarder le centre-ville avec la place De-Gaulle bientôt rénovée, la rue Pasqualini ou la route de Grasse. ● La Fnaim considère que Grasse est toujours intéressant car les prix au m sont plus bas qu’ailleurs et permettent donc de s’offrir plus de surface habitable. ● À Antibes, la Fnaim a un oeil sur la restructuration de la voirie sur les boulevards Poincaré, Wilson, Albert-Ier (où les prix sont toutefois plus élevés). « Dans ces secteurs, on agrandit les trottoirs, on crée des zones avec des parkings souterrains. Aujourd’hui, les gens veulent revenir pour y habiter. Notamment ceux qui travaillent à Sophia Antipolis. » ●