La phrase choc d’Emmanuel Macron sur les APL
« Le colonel Beltrame est mort parce que la France, ce sont des idées, des valeurs, quelque chose d’une guerre qui le dépasse », fait valoir le chef de l’État dans un documentaire diffusé hier soir sur France . Or, selon lui, « les gens qui pensent que la France, c’est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus (sic), une République dont on ne connaît plus l’odeur», et où l’« on invoque la tragédie dès qu’il faut réformer ceci ou cela, et qui pensent que le summum de la lutte, c’est les euros d’APL... Ces gens-là ne savent pas ce que c’est que l’histoire de notre pays ». le tribunal de commerce de Créteil, à la demande de son patron Gilbert Edelstein, également président du Syndicat national du cirque. «Les mois de mars et avril ont été catastrophiques, on ne pouvait pas continuer comme ça », a-t-il déclaré hier. Le chiffre d’affaires de sa société d’une centaine de salariés est passé de , millions d’euros en à , millions en . Il cite « la crise économique », le contexte post-attentats et la baisse du nombre de scolaires, passé de « à par an en trois ans». Mais il assure que ces difficultés ne sont pas dues aux polémiques liées à l’utilisation des animaux sauvages dans les cirques. La ménagerie de Pinder en compte , dont le sort n’a pas été précisé. Cette question a provoqué des débats enflammés ces dernières années. Et pays ont interdit les animaux sauvages sous les chapiteaux, dont en Europe. En France, communes ont pris des arrêtés en ce sens, avait indiqué l’association de défense des animaux PETA en novembre, après la mort à Paris d’une tigresse, abattue après s’être échappée d’un cirque. Quelques semaines plus tard, Paris s’était engagée à devenir une ville sans animaux sauvages dans les cirques. révision constitutionnelle, premier volet de la réforme des institutions voulue par Emmanuel Macron, sera au menu demain du conseil des ministres. Le projet de loi constitutionnelle « pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace », qui décline plusieurs promesses de campagne et sera présenté au nom du Président, près d’un an après son élection, vient de recevoir le feu vert du Conseil d’État. Encore à l’étude et tout aussi épineux, l’autre volet de la réforme, avec les mesures emblématiques de réduction du nombre de parlementaires, limitation des mandats dans le temps et dose de proportionnelle aux législatives, arrivera plus tard dans le mois.