En quête de fonds et de bénévoles
Pour pouvoir fonctionner tout le long de l’année, la SNSM est constamment en quête de bénévoles… et d’argent. Le plus difficile étant de trouver quelqu’un qui habite près du port, dispose de temps, a une bonne condition physique, n’a pas le mal de mer, etc. Pour l’aspect financier, chaque station doit se débrouiller seule. À l’exception des investissements. Pour changer une vedette, la station paye 25 % de la note, la SNSM nationale 25 % également. La moitié restante est assurée par des subventions. Reste que le carburant et toutes les dépenses du quotidien sont à la charge de la station. Ce qui représente en moyenne 25 000 euros par an. « On se donne beaucoup de mal pour trouver des adhérents, à les fidéliser, explique-ton. Et la municipalité nous donne également un peu d’argent, ainsi qu’une place au port gratuite. »