Me Franck De Vita, défense :

« Les contradictions de notre client ne sont pas une surprise. ça dure depuis toujours. La vidéo est glaçante, effrayante. Il y a eu un effroi dans la cour d’assises : il y a ce son, ces images, cette violence, ce temps long, énorme. ça n’explique pas la légitime défense mais ça donne l’état de stress de Stephan Turk. Il se prend des coups de pied, des coups de poing. Il est dans un état second. Je pense qu’il se souvient de l’essentiel : qu’il est à nouveau braqué pendant les deux secondes où il a tiré. »