«La chatte à Deschamps»
L’Iran perce l’écran pendant ce Mondial. Pour la cohésion de son collectif et son abnégation. Avec seulement % de possession, la nation au classement FIFA a pris au piège le Maroc de Renard (-) et fait douter la Roja (-). Sans le coup de pouce de la VAR sur l’égalisation refusée à Saeid Ezatolahi, le destin de l’Espagne était au bord du Paillon. L’immense boulot de Carlos Queiroz, arrivé en avril , aurait été couronné d’un prestigieux match officiel de rang sans défaite (v, n). Le Portugal reste, lui, sur quatre buts consécutifs de Ronaldo. Suffit que le génie soit muselé par le collectif persique et que Sardar Azmoun, le Messi iranien, marque enfin pour que la surprise ne soit pas loin. La Seleção a une défense friable, l’Iran a du chien. Et puisque Deschamps a une chatte légendaire, on aura droit à un France-Iran en quarts.