Les quinze propositions
. Faire du Comité européen des régions une véritable assemblée des territoires. . Renforcer les liens entre les collectivités et l’Union. . Créer un dialogue permanent entre les élus européens et les territoires. . Développer des Maisons de l’Europe partout en France. . Permettre à toutes les communes d’accéder aux aides européennes, grâce à l’échelon intercommunal. . Créer un Observatoire français de la surtransposition pour dire « stop aux normes abusives ». . Remettre la ruralité au coeur de l’action européenne. . Mettre fin à l’unanimité et au principe d’exception. . Combattre le dumping en uniformisant la fiscalité. . Créer une carte d’identité européenne biométrique. . Créer des Maisons de santé connectées en Europe. . Miser sur les territoires comme laboratoires d’innovation. . Faire de l’UE un espace de sécurité pour tous les territoires. . Réformer en profondeur les accords de Schengen. . Renforcer le rôle des élus locaux dans la sécurité.
suivent un fil directeur : la volonté de voir les territoires plus étroitement associés à la politique européenne. « Il est temps de passer de l’Europe de la technicité à l’Europe du concret, de l’Europe des États à l’Europe des territoires. Il faut donner davantage de
pouvoir aux acteurs locaux », a insisté Christian Estrosi. En résumé, un appel à une Europe plus forte, plus sûre, davantage à l’écoute de ses territoires et de ses citoyens, pour une action concrète et identifiable qui puisse restaurer son crédit.