LuneApache, ces Varois explorateurs de rêves

LuneApache, c’est le nom du groupe varois d’Anthony Herbin, ce trentenaire qui vit son époque avec l’esprit des années pop psychédélique. Hier soir, le trio toulonnais avait pour challenge d’ouvrir le Lunallena… Avez-vous le trac ? Evidemment ! Nous sommes très contents de faire partie de cette affiche grâce à ce tremplin jeunes talents que nous avons gagné. Et surtout d’être programmés avec The Chemical Brothers. J’adore leur période psychédélique évidemment. Ce sont des musiciens avant d’être des DJs, c’est ce qui me touche.

Quelle est votre actualité ?

Nous enregistrons notre premier album intitulé Onironaute, l’explorateur des rêves, que nous testons à Lunallena. Il sort en novembre après notre EP quatre titres. J’ai voulu orienter notre musique vers le son des années . Je suis un fan de Syd Barrett des Pink Floyd, du Velvet, des Beatles et des Rolling Stones.

Vous allez aussi faire la re partie d’Etienne Daho...

On l’a rencontré il y a deux ans. Notre projet a été retenu. J’en suis très fier. Vraiment. Nous serons avec lui pour un concert le  novembre au Silo.

Est ce qu’il existe une scène varoise ?

Oui. Quand on a commencé la musique à Toulon, on était tous connectés par le rock et la pop. Avec chacun une identité. Aujourd’hui, il y a davantage de musiciens qui s’orientent vers l’électro. Sans doute parce que les batteurs sont rares dans notre musique.