Elias a repris sa liberté mais revient régulièrement pour les événements spéciaux, comme ici à Monaco.
Si Elias ressemble furieusement à un Viking, ce n’est pas complètement par hasard. Ce solide gaillard aux yeux couleur de fjords vient d’un petit village du centre de la Suède : « Même si c’est le centre, vu que tout se passe au Sud en Suède, tout le monde dit que c’est le nord ». À 31 ans, il a déjà travaillé 9 ans pour le Cirque, en tant que collaborateur à temps plein. En 2017, il a repris sa liberté. « J’avais besoin d’espace, de faire des choses différentes, de me renouveler. On ne sait jamais ce qui va arriver dans le futur!» Il a démarré les arts de la piste tardivement, à 15 ans. « J’ai vu une affiche de recrutement d’une école de cirque. J’ai demandé à mes parents, et ils m’ont encouragé. J’y suis allé. C’était tellement incroyable ! Il y avait des gens qui volaient partout ! » Six ans d’études plus tard, il a été repéré, directement à l’école, par un chasseur de talent du Cirque, et a embrayé sur sa carrière.