Monaco-Matin

Massimo Gargia croque dans le gâteau tropézien

Le jet-setteur napolitain avait convié une centaine de « grands de ce monde » à souffler ses 78 bougies à Un événement festivo-doré qui réserve toujours quelques anachroniq­ues rencontres...

- LAURENT AMALRIC lamalric@nicematin.fr

Non, ce n’était pas le HellFest dimanche soir à Saint-Tropez pour la soirée anniversai­re du jet-setteur impénitent né sous le signe du Lion un 20 août, Massimo Gargia. Mais il y avait tout de même une ambiance d’enfer pour souffler ses 78 bougies à l’Hôtel de Paris. Ambiance qui résidait en un savant cocktail – parfois explosif ! – mélangeant un Orlando aux lunettes «Polnareff», Los Amigos, groupe gipsy en furie, un Marcel Campion prêt à en découdre aux futures municipale­s parisienne­s et une Ivana Trump très guillerett­e.

Lollobrigi­da retenue

Trop toutefois pour l’ambassadri­ce des États-Unis à Paris, Jamie McCourt, qui, si elle a honoré de bonne grâce l’événement tenu par le mondain napolitain, a définitive­ment décliné la photo avec l’exépouse de Donald Trump. Pourtant membre du parti Un lion dans une savane fruitée pour finir en beauté cette nouvelle soirée anniversai­re à l’Hôtel de Paris. (Photos Luc Boutria)

républicai­n, Miss McCourt, par ailleurs brillante avocate et ex-épouse du milliardai­re propriétai­re de l’OM, Frank McCourt, a préféré

s’afficher avec l’édile parisienne, maire du VIIIe arrondisse­ment, Jeanne d’Hauteserre. Pas de coup d’éclat du côté

de Frigide Barjot, alias Virginie Tellenne qui sortait ce soir-là son grand fiston, Bastien, fruit de son union avec le fantasque Basile de

Koch. Finalement, point de Gina Lollobrigi­da, comme annoncé. L’actrice italienne, 91 ans, intronisée en début d’année au Walk Of Fame d’Hollywood, «a préféré en rester à l’étape monégasque de son parcours azuréen», confirme un proche. Pas davantage de Loana, pourtant non loin à Nice, mais peut-être pas encore prête à renouer avec ces soirées people où elle s’est jadis brûlé les ailes. En tout cas, pas de quoi impression­ner Mario Adorf qui, en avril dernier, prenait les traits de Karl Marx pour un docu-fiction sur Arte. L’acteur allemand, en villégiatu­re régulière dans la presqu’île, goûtant toujours avec entrain les frasques dorées du Capital. Tout autant que son hôte, l’indéboulon­nable « lider » Massimo, qui avait d’ailleurs clairement annoncé la couleur à sa centaine d’invités. Tenue « blanc, or et argent » de rigueur. Une devise que l’on imagine aussi la bienvenue pour ses... chèquescad­eaux !

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