Cinq autres naissances insolites à Nice et Cagnes

◗ Mercredi  juin ,à Roquestéron. C’est la première naissance depuis presque un quart de siècle dans le petit village situé à une heure de Nice. Lorsque Stéphanie Chapotel ressent ses premières contractions, elle n’est pas à la clinique. Aussitôt prévenus, les pompiers de la toute proche caserne Josette-Castellotti accourent à son domicile. Au même moment, un hélicoptère est dépêché sur les lieux pour transporter la future maman dans une clinique de Nice. Mais le petit Stéphane est pressé… Et c’est avant l’embarquement du vol, au stade Saint-Jean et au grand air, que l’enfant est né avec l’aide d’un médecin du Samu.

◗ Le  janvier , à 15h30, naît Yasmine, à Nice, dans la voiture de ses parents. Ils sont en route vers l’hôpital quand les contractions s’intensifient. «J’ai senti que la petite voulait sortir… J’ai dit à mon mari de s’arrêter car je ne pouvais plus la retenir », raconte la maman. Le temps d’arriver sur les lieux, les pompiers guident le futur papa par téléphone. Le médecin et la sage-femme n’arriveront qu’après la naissance, pour couper le cordon ombilical.

◗  août , les passagers et le personnel du vol Tunisair en provenance de Tunis assistent à une scène mémorable : une femme de 31 ans a accouché à l’atterrissage du Boeing 737-600 à l’aéroport de Nice .La maman a reçu l’assistance de l’équipage et d’un médecin qui se trouvait à bord.

◗  janvier  à Toudon. Bérangère et Sébastien attendent l’arrivée d’un petit Marcel. Il doit venir au monde à Monaco où sa maman travaille comme infirmière. Mais voilà, le jour de la Saint-Marcel, vers 4 heures, les premières contractions apparaissent et Bérangère réveille son compagnon pour qu’il emmène leur fils aîné de 2 ans chez ses grands-parents, à Ascros. Sauf que dans la maison désertée, le petit Marcel précipite les événements. Le temps que son papa revienne et que le médecin des pompiers arrive, il était né.

◗ Le  septembre  au matin, Isabelle sent venir les premières contractions. Après un aller-retour à la clinique Saint-Jean de Cagnes-sur-Mer, les contractions se font de plus en plus fortes vers 17 heures. Les pompiers tentent de la mettre sur un brancard à trois reprises. En vain. Il faudra accoucher à domicile. Sans péridurale.