Léa Pellerin : « Des projets, j’en ai plein la tête »
Léa Pellerin, spécialiste des métiers de la communication, passionnée par la gastronomie et rédactrice en chef du média digital Le Bonbon. À la base, je suis originaire de Lille. Je suis ensuite allée sur Paris, j’ai fait des études de commerce, puis j’ai travaillé dans une agence de publicité. Suite à cela, j’adorais la cuisine et j’ai eu envie de faire quelque chose dans ce monde-là. Donc j’ai passé un CAP pâtisserie, j’ai travaillé dans différentes adresses et j’ai lancé ma propre activité en traiteur sucré.
Ensuite, vous êtes arrivée sur la Côte d’Azur… Quand je suis arrivée ici, j’ai tâté le terrain, voir si je pouvais continuer mon activité. J’ai vu que ça allait être compliqué, donc j’ai arrêté. Je suis revenue dans la communication, dans la rédaction et dans le journalisme, que j’ai forcément voulu lier à la gastronomie, parce que c’est ça qui m’anime.
Quand avez-vous créé Le Bonbon ? J’ai créé la version “Nice Côte d’Azur” en mai, mais à Paris ça existait déjà depuis une dizaine d’années. Je sillonne les établissements et après j’écris dessus, je dis ce qu’il m’a semblé bien et moins bien aussi. J’essaye d’être assez honnête, ça reste de la critique, mais sans aller trop loin bien sûr.
Pour l’instant, vous êtes beaucoup sur Nice, est-ce que Le Bonbon va parler des établissements de Monaco dans un avenir plus ou moins proche? Pour l’instant, je vais rester à Nice et puis au fur et à mesure, je m’étendrai. Aussi bien vers Monaco, qu’Antibes. Mais oui, c’est en projet. De toute façon, des projets, j’en ai plein la tête.