% d’augmentation, ans de succès
C’était en juillet . Monaco se dotait de sa Chambre de développement économique. Son premier président, Michel Pastor, annonçait alors qu’il s’agissait de « promouvoir l’image de la Principauté à l’étranger ». Une idée qui séduit entrepreneurs.
Une première mission à Dubaï, une seconde en Tunisie, un partenariat signé avec Côte d’Azur Développement : la machine est lancée, et sur les chapeaux de roue. En , c’est Franck Biancheri qui reprend la présidence de la CDE, quelques mois après son départ du gouvernement où il occupait les fonctions de conseiller de gouvernement-ministre de l’Économie et des Finances.
Trois ans plus tard, Michel Dotta est nommé à la présidence.
En , pour les ans de son règne, le prince Albert II décide d’un changement de stratégie :
« Cette entité doit opérer une restructuration pour faire face à la concurrence toujours plus vive de certaines destinations étrangères, sous dénomination de Monaco Economic Board. »
Aujourd’hui connu sous l’appellation de MEB, le Monaco Economic Board est un pilier du développement économique de Monaco sur le plan international. Les entrepreneurs de la Principauté ne s’y trompent pas : ils sont aujourd’hui à adhérer à l’ex-CDE. Trois fois plus nombreux qu’à son origine. Ensemble, ils ont participé à des opérations, de Pékin à Ouagadougou, en passant par Stockholm, Milan, Moscou et, tout récemment, New Delhi.