POITIERS - CANNES : -

Les sets : 25-21 en 26’ ; 2518 en 23’ ; 25-15 en 21’. Arbitres : Mme Gadenne et M. Leconte. Spectateurs : 1.756. POITIERS : 44 attaques gagnantes : Kutsmus 13, El Graoui 12, Kokkinakis 8, Koelewijn 6, Zopie 5. 5 aces : El Graoui 2, Kokkinakis 2, Abaev 1. 9 contres gagnants : Zopie 6, Kutsmus 1, Koelewijn 1, Abaev 1. 21 fautes directes dont 13 au service. L’équipe : Kutsmus 14, El Graoui 14, Zopie 11, Kokkinakis 10, Koelewijn 7, Abaev 2, puis Dubreuil. Libero : Barais. CANNES : 26 attaques gagnantes : Hamzagic 10, Koncilja 8, Mechkarov 3, Corre 2, Lomba 2, D’Almeida 1. 4 aces : D’Almeida 2, Hamzagic 2. 4 contres gagnants : Koncilja 3, D’Almeida 1. 17 fautes directes dont 7 au service. L’équipe : Hamzagic 12, Koncilja 11, D’Almeida 4, Mechkarov 3, Corre 2, Lomba 2, puis Kral, Manessier, Cipollone. Libero : Mouiel

Ils avaient successivement accroché Ajaccio (2-3) et Rennes (1-3). Cette fois, les Cannois n’ont rien pu faire face à un Stade Poitevin retrouvé et désormais qualifié pour les play-off. Seul le premier set aura été vraiment disputé hier soir à LawsonBody. Même s’ils ont souffert en réception, les Cannois n’ont jamais lâché malgré leur retard à l’allumage (9-4).

Koncilja a tenté

Ils sont d’abord revenus (1111) en profitant de deux erreurs consécutives de Kutsmus, puis grâce à Koncilja, seul joueur cannois à surnager hier dans la Vienne, alors que Kokkinakis avait réalisé un mini-break (21-17 puis 21-20). Mais le capitaine grec du SPVB a remis ça dans la foulée. La fois de trop pour l’AS Cannes (2521). Le début de la fin pour