Monaco-Matin

Questions à « Ici, je connais toutes les routes »

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Certes, Frederik Van Lierde n’arrive pas sur sa distance de prédilecti­on. Certes, le Belge n’a plus  ans, mais affiche le double. Pourtant, avec son énorme CV, et surtout sa connaissan­ce de l’épreuve niçoise, lui, le co-recordman de victoires sur l’Ironman à Nice devrait encore jouer les premiers rôles.

La course sera-t-elle véritablem­ent différente du traditionn­el Ironman ?

Oui, c’est peut-être difficile à croire, mais ce sont deux choses bien différente­s. Sur le ., il y a des jeunes qui vont beaucoup plus vite et sont plus “agressifs” que moi. Mes succès à Nice, je les ai connus sur une distance deux fois plus grande, sur h h d’efforts. Là, ça sera moins de h. Un exemple, sur un Ironman, une bonne alimentati­on est capitale. Sur un ., beaucoup moins. Mais je vais quand même essayer de faire un bon résultat et de me mêler à la bataille.

La connaissan­ce du terrain pourrait jouer en votre faveur ?

C’est ça. C’est pour cette raison que je suis venu ici car je ne participe jamais aux championna­ts du monde .. A Nice, je me sens bien, je connais toutes les routes, le déroulemen­t de la course.

La victoire, c’est possible ?

On ne sait jamais, mais ma cote est bien moins élevée que sur un full Ironman.

Qui est votre favori ?

Rudy von Berg. Il est chez lui, il m’avait battu l’an passé (sur le Test Event). Il était impression­nant, notamment dans les descentes à vélo.

La difficulté de ce championna­t se trouve sur le parcours vélo, avec le col de Vence…

Oui, d’habitude les championna­ts du monde . sont plats ou presque. Là, on va faire  mètres de dénivelé positif, avec le col de Vence et des routes techniques.

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