« La G espérée en dans le »
Nicolas Drouillet, directeur des réseaux chez Orange Grand Sud-Est
Quels sont les enjeux du Groupe Orange Grand Sud-Est ?
Notre premier enjeu est d’amener le plus de connectivité possible à nos clients. Pour cela, nous menons plusieurs actions à la fois sur notre réseau cuivre historique pour la téléphonie et la télévision que nous continuons à entretenir pour proposer de la montée en débit et, parallèlement, nous travaillons à la construction du réseau fibre en poursuivant son déploiement. Nous travaillons aussi sur le réseau de demain, le mobile et le déploiement de la G.
Existe-t-il encore des zones blanches ?
Dans le Var comme en France, il en existe encore quelques-unes. D’où l’accord que nous avons signé avec l’Etat pour les résorber. Sur la base de nos expertises techniques, les collectivités locales décident des sites à construire sur dix ans et nous nous sommes engagés à changer les zones G en G.
Par exemple, par un arrêté de juillet , nous avons lancé la construction d’un nouveau site à Vidauban dans le Var pour couvrir également les communes du Thoronet et du Cannet-des-Maures. Nous avons deux ans pour construire ce site mobile et enlever cette zone blanche.
Et la G, quand arrivera-telle dans le Var et les Alpes-Maritimes ?
Orange a souhaité être le leader de la G et l’expérimente à Marseille depuis janvier . Nous avons déjà installé une dizaine d’antennes et nous en visons une centaine d’ici à la fin de l’année pour l’essayer avec l’aide de bétatesteurs. Normalement, une consultation devrait être lancée au premier trimestre pour l’attribution des fréquences. Marseille est notre ville test. Après Marseille, nous devrions être parmi les premiers à étendre la couverture G à d’autres villes, nous espérons du Var et des Alpes-Maritimes. Vraisemblablement, nous devrions pouvoir commercialiser la G en .