Amazon annonce avoir payé M€ d’impôts en
*Selon horaires et jours d’ouverture. Voir informations et magasins participants sur www.intermarche.com. **Du vendredi 20 décembre au dimanche 22 décembre 2019, pour un achat supérieur ou égal à 15€ et dans la limite de 90€ d’achat de foies gras et toasts (dans le rayon libre-service) effectué par passage en caisse dans un magasin participant (liste des magasins participants sur www.intermarche.com), recevez 30% de la valeur de vos achats foies gras et toasts sous la forme de deux bons d’achat. Le montant obtenu est réparti de moitié sur chacun des deux bons d’achat. Chaque bon d’achat est utilisable lors d’un passage en caisse dans le magasin émetteur (hors presse, livres, gaz et carburants) dès 15€ d’achat et pour un montant d’achat supérieur à sa valeur, sur deux semaines consécutives allant du lundi 23 décembre au dimanche 29 décembre 2019 et du lundi 30 décembre 2019 au dimanche 5 janvier 2020 (1 bon d’achat utilisable par semaine). Bon cumulable avec d’autres offres en cours, non remboursable, non échangeable en tout ou partie, non compensable, non cessible en tout ou partie et non fractionnable. Bon d’achat non valable en Drive. Bon d’achat original exigé.
Le géant américain de la distribution en ligne Amazon a annoncé, mercredi soir, avoir payé plus de 250 M€ de prélèvements obligatoires en France en 2018, et y avoir réalisé un chiffre d’affaires de 4,5 milliards d’euros. La société, au même titre que d’autres multinationales américaines – Google, Apple et Facebook –, est régulièrement accusée de minorer les revenus qu’elle perçoit en France afin de réduire ses impôts, d’où sa décision de rendre publics ces prélèvements hier, a expliqué son directeur général pour l’Hexagone, Frédéric Duval. En 2018, « les prélèvements obligatoires liés impôts locaux, etc.) », ajoute l’entreprise dans un communiqué.
Cette annonce intervient alors que le gouvernement français, pour mettre fin à des pratiques fiscales controversées des multinationales du numérique, a voté fin 2018 une taxe surnommée couramment « Gafa » (acronyme de Google, Amazon, Facebook et Apple), qui est entrée en vigueur cette année.
L’ancien secrétaire d’Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi, a récemment affirmé, pour sa part, que les géants américains du numérique (« Gafa » plus Microsoft) avaient déclaré l’an dernier en France un chiffre d’affaires quatre fois inférieur à celui réalisé effectivement, engendrant un manque à gagner d’un milliard d’euros pour le fisc.