« Une immense joie »
■ (, 19 ’ ) : « J’étais pas trop mal dans le final, mais j’avais un peu trop les fourmis dans les jambes et je suis parti d’un peu trop loin, à 700-800m et j’ai complètement coincé entre 200 et 300 m de la ligne. J’avais d’abord attendu que Michael Storer (son coéquipier 4e de l’étape) prenne assez de marge. Mais, ensuite, j’ai complètement loupé mon timing. Je m’accroche quand même avec le groupe de tête, donc tout est ok ».
■ ( ) :
« C’est une immense joie ! Depuis le début de saison, on insiste sur le fait qu’on a changé de statut en étant World Tour et que cela nous oblige à changer aussi notre manière de courir. Et nos coureurs l’ont bien compris. Aujourd’hui (hier), on voulait protéger notre leader Nicolas Edet et permettre à Antho (Pérez) d’être un électron libre et de tenter sa chance. Sur un parcours aussi délicat, ses qualités, à la fois de puncheur et de grimpeur, lui ont permis de s’accrocher et de faire la différence dans le final. On sait que ce sera dur mais demain (aujourd’hui), avec toute l’équipe, on va se battre pour essayer de conserver le maillot de leader. »
■ (, 15 ’ 6 ) :
« C’était encore plus dur qu’attendu, il n’y avait pas un mètre plat. C’était un gros tempo pour revenir sur l’échappée, mais on n’a jamais pu rentrer. Tout le monde s’est épuisé à tour de rôle. On n’était pas favori pour l’étape, c’était pour les puncheurs, on n’avait pas de coureurs assez rapides pour l’emporter, donc on n’avait pas à rouler. Thibaut (Pinot) n’est pas trop mal (sourire), c’est bien pour demain (aujourd’hui) ».