Ils étaient les champions
Entraîneur-joueur de talent et gentleman : après le titre, le New-Yorkais reçut une autre médaille, celle de la Courtoisie française.
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La révélation de cette saison -... La fusée ‘’Cachou’’ était lancée : le Guadeloupéen (Antibois de à ), aussi adroit qu’athlétique, deviendra une référence européenne, e scoreur de l’histoire de l’équipe de France.
Profession en : technicien en électricité
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« Son obsession, prendre l’avantage sur les pivots de l’Est », écrivait pour Nice-Matin le reporter Francis Brugna en ... Profession en : employé municipal
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Le Portoricain né à New-York devint une idole... Lunettes, barbe, coupe afro, des mimiques impayables et un magicien, passeur incroyable. Antibois de à . Il coule ses vieux jours entre USA et Porto-Rico. Profession en : maître d’éducation physique ✓
L’Antibois de naissance, le dynamiteur, quelle énergie ! Combien de fois Roger est allé tordre les panneaux publicitaires pour récupérer un ballon. Il ne lâchait rien, le public de Salusse-Santoni l’adorait. Aujourd’hui retraité... à Antibes, bien sûr. Profession en : croupier au casino.
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Natif d’Antibes... La pureté du jump-shoot. Un tir d’école, très précieux même si la ligne à pts n’existait pas encore. International, ancien responsable de la police municipale, René passe sa retraite dans sa ville de toujours. Profession en : clerc de notaire
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Né à Vallauris, indissociable de l’histoire de l’OAJLP. Champion de France de N comme joueur en , Paulo a inspiré et entraîné de nombreuses générations de petits antibois.
✓ Les joueurs sortis du banc : René Rollini ( ans en ), était le meneur vétéran du cru, toujours prêt à rendre de fiers services. Du côté des plus jeunes, Didier Lefevre venait de Cagnes-sur-Mer, Jacky Mercier de Golfe-Juan et Alain Balland d’Antibes.