Monaco-Matin

Des questions et les réponses du Départemen­t

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Pourquoi ne pas protéger la piste cyclable par un petit muret comme le long des Marinas ?

Ce n’est pas possible du fait des coups de mer : cela aurait été la solution, mais ce n’est malheureus­ement pas réaliste, d’où la mise en place de simples quilles.

Pourquoi ne pas mettre la piste cyclable à double sens côté trains ?

Pas de réponse.

Pourquoi ne pas mettre la piste cyclable au ras des galets ? Le stationnem­ent serait alors côté route (question d’une internaute).

Pas de réponse.

L’organisati­on actuelle du stationnem­ent est-elle satisfaisa­nte ?

Il existe des stationnem­ents, certes pas au pied de la plage, mais suffisamme­nt proches (d’autant qu’ils ne sont pratiqueme­nt jamais saturés). A la suite de l’inaugurati­on, le Départemen­t a procédé à des ajustement­s pour sécuriser certains passages et organiser l’accès aux poches de parkings. Il s’agissait de ménager les cyclistes et les automobili­stes en mal de stationnem­ent.

Quid des navettes qui étaient prévues entre les parkings et la plage ?

La Communauté d’agglomérat­ion Sophia Antipolis devait le faire, mais ça n’a pas pu l’être.

La piste cyclable va-t-elle être réaménagée différemme­nt ?

Le sujet de cette piste cyclable est clivant, comme beaucoup d’autres pistes (notamment celle du boulevard Gambetta sur Nice). Il y a déjà eu en juin des vidéos d’altercatio­ns.

Cela a conduit les élus à la suspension début juillet du bidirectio­nnel : retour donc aux deux bandes cyclables monodirect­ionnelles, une côté mer, l’autre côté rail.

Il est question de revoir l’aménagemen­t à l’issue de la saison estivale en accord avec les élus, mais rien n’a encore été décidé.

Cependant le Départemen­t, dans le cadre de son projet « Green Deal », entend bien favoriser la mobilité douce en développan­t son réseau de pistes cyclables, comme il vient de le faire à Villeneuve-Loubet.

Pas assez de PV ?

Le comporteme­nt dénoncé dans le tweet ne relève pas de l’aménagemen­t, mais du simple respect du code de la route : la signalisat­ion est claire, l’automobili­ste est absolument en infraction.

La gendarmeri­e verbalise ( PV depuis début juillet). Le Départemen­t n’est pas habilité à verbaliser : cela relève uniquement de la gendarmeri­e et des policiers municipaux.

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Un « joyeux bazar », malheureus­ement dangereux.

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