Dernières prises de paroles
Balthazar Seydoux : «La situation que connaît notre vie économique ne permettra aucune crispation institutionnelle ni aucun calcul politique individuel. C’est la responsabilité collective qui doit continuer de nous guider dans nos travaux. » Brigitte Boccone-Pagès :
« Aujourd’hui, il s’agit non seulement d’actions concrètes, d’actes rapidement perceptibles, mais également d’ambition. Une ambition que nous devons renouveler et revoir à la hausse, pour sans cesse nous adapter à l’évolution de la situation et nous permettre d’être un véritable modèle dans la relance. »
Michèle Dittlot : «Surle terrain, les conséquences économiques et sociales de la crise se font lourdement sentir. »
Christophe Robino : «Les mesures annoncées par le gouvernement, issues des échanges en Comité mixte de suivi de la crise du Covid- avec le Conseil national, et au cours de nos séances publiques budgétaires, doivent être poursuivies voire renforcées notamment pour les secteurs les plus touchés comme ceux de l’hôtellerie, de l’événementiel ou du tourisme. »
Marc Mourou : «La solidarité reste le maître mot en cette période de crise sanitaire et nous devons continuer à travailler ensemble pour faire face à ces évolutions et objectifs que nous devons poursuivre. » Daniel Boeri : « Culture et divertissement sont indispensables pour la relance. Il s’agit d’enchanter la vie face à un ennemi invisible. » Fabrice Notari à propos du projet d’un métro entre Nice et Monaco : «Les études doivent être vérifiées, analysées, se heurter aux normes, à la réglementation, à la faisabilité, à des dépenses ou des budgets, à la sécurité, alors oui peutêtre, un jour, il y aura un métro et ce n’en est pourtant pas sa première version. Mais s’il vous plaît laissez les services faire leurs études, laissez mûrir, laissez le gouvernement et le Conseil national en débattre avant car le sensationnel devient vite décevant si le rêve se brise. »
Franck Julien : «Jesuis convaincu qu’ensemble, sous l’autorité du Prince souverain, avec les Monégasques, les résidents, les entrepreneurs et salariés des entreprises monégasques, Monaco sortira renforcé de cette crise. »
Nathalie Amoratti-Blanc :
« J’espère que vous saurez faire preuve d’anticipation pour mieux gérer la deuxième vague que la première. (...) Aujourd’hui, nous avons entendu des engagements dont nous avons pris bonne note. L’heure est maintenant aux actes. » Béatrice Fresko-Rolfo (Horizon Monaco) : « Le premier, voté en avril, faisait apparaître un déficit bien plus grand. Les chiffres se sont modifiés, de manière assez déroutante. Gageons que nous risquons d’avoir quelques surprises lors de la transmission de la clôture des comptes en . (...) Une chose est certaine, ce n’est qu’au prix d’un effort collectif que nous pourrons sauver les entreprises et ainsi sauver l’emploi. »
Jacques Rit (Horizon Monaco) : «Leplande soutien et de relance ambitieux apparaît comme àlamesuredudéfià relever. La guerre éclair semble devenir une guerre de tranchées. Chaque pays est seul face à cette crise. Le nôtre probablement plus que tout autre. (...) Notre paix sociale est une des clés de notre prospérité. Je serai prêt à voter une rallonge des aides. » Jean-Louis Grinda (Union Monégasque) : «Faceà cette crise, la réponse de notre gouvernement a été remarquable. La grande majorité des acteurs économiques, quelle que soit leur taille, en témoigne. Le Conseil national y a pris toute sa part, notamment par les propositions qu’il a pu faire au sein du Comité mixte Covid-, voulu par le Prince souverain. En l’espèce, l’échange institutionnel s’est passé correctement et le résultat en est visible par tous. »