Nice-Matin
Jean-Philippe Rohr :
« Le lendemain des matchs, je me jetais sur les articles de Julien Giarrizzi dans Nice-Matin. Julien, c’était le Pelé du journalisme. »
Mickaël Le Bihan :
« Furlan est un super coach. Quand tu te lèves le matin, tu sais que tu vas prendre du plaisir. »
Alexandre Blain :
« Roxana Maracineanu, tu ne la vois pas, tu ne l’entends pas. Nous, sportifs sommes les grands oubliés de la crise. »
Samir Ai-Said :
« Je ne veux pas aller aux JO de Tokyo pour participer, mais pour gagner. Je me mettrai dans le dur, s’il le faut. »
Niko Kovac :
« Je protège mes joueurs. C’est ma famille, mes enfants. Et je ne suis pas un acteur, pas là pour charmer. Je suis normal. »
Loïck Peyron :
« Pour moi, le premier Vendée était une évidence. Je voulais absolument faire partie de l’aventure. On s’est retrouvé à 13 aux Sablesd’Olonne avec ce sentiment que nous étions tous des défricheurs. »
Hatem Ben Arfa :
« Maradona, c’est le foot que j’aime. »
Renato Civelli :
« Maradona est entré dans le coeur de tous les Argentins. Son match face à l’Angleterre, quatre ans après la guerre des Malouines, restera pour l’éternité. »
Julien Fournier :
« Il faut que le staff et les joueurs montrent autre chose. J’en ai marre d’entendre qu’on est jeune, que Dante est blessé, qu’il y a la crise sanitaire... Stop ! »
Moi, la soixantaine. J’ai décidé de ne plus rien faire en 2020, c’est une année de merde. En 2021, je vais réapparaître. »
Didier Deschamps :
« Je m’énerve de moins en moins. Ce qui ne m’empêche pas de dire les choses. »
Franck Comba :
« Il y avait de l’amour entre nous. Avec Domi (Christophe Dominici), je peux vous dire qu’on a visité Paris. Mais pas le Louvre ! »
Adrian Ursea :
« Les dirigeants du Gym m’ont demandé si j’étais prêt. J’ai dit oui. Je m’en sens largement capable. »
Laurent Paganelli :
« A Toulon, quand on partait au vert, il y avait toujours un casino. Et si tu ne jouais pas, ça ne plaisait pas à Rolland (Courbis). A midi, à table, il y avait du pinard. Les plus anciens finissaient bourrés. L’après-midi, ils allaient faire la sieste. Puis, on jouait aux cartes, on mangeait un morceau. Les mecs entraient dans le match à la causerie. Ils étaient costauds. »
Adrian Ursea :
« Je suis là pour trouver des solutions. »
Olivier Dacourt :
« Ce qui vient de se passer au Parc des Princes (PSG-Basaksehir) est historique. »
Jean Tigana :
« Lors d’un repas en 2004, Claude Simonet (président de la FFF de 1994 à 2005) avait dit qu’il ne pouvait pas nommer un sélectionneur noir à la tête de l’équipe de France parce qu’il y avait déjà trop de noirs chez les Bleus. »
Marcel Dib :