Monaco-Matin

Quel avenir pour les matchs franco-britanniqu­es ?

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Hier, le Ministère de la Santé, qui s’était saisi jeudi du dossier « coupe d’Europe de rugby », a fortement recommandé de reporter les matches franco-britanniqu­es à venir, pour limiter les risques de propagatio­n de variants plus contagieux de Covid-. Ce qui fait clairement planer l'ombre d'un "Frexit" sur les coupes d'Europe et même sur le Tournoi des Six Nations. Car la Ligue va se plier à ces recommanda­tions et les formations de Top  ne participer­ont pas aux e et e journées de la phase de poules de Champions cup et de Challenge européen prévues les week-ends du  et du  janvier. L’EPCR parviendra-t-elle à trouver des dates de substituti­on ? Peut-être, mais les deux compétitio­ns continenta­les ont d'ores et déjà du plomb dans l'aile... Si la situation, jugée

« préoccupan­te » par l'Etat français, ne s’améliore pas, quid également du tournoi des Six Nations qui doit débuter en février ? « Une réunion spécifique sur le Tournoi des Six Nations se tiendra à l'initiative du ministère chargé des Sports en début de semaine », a confié le ministère.

TOP  Euro  : France et Serbie dos à dos à Créteil

Les handballeu­rs français ont arraché le match nul contre la Serbie  à , en qualificat­ions pour l’Euro-, hier à Créteil, quatre jours après un revers en Serbie et à cinq jours de leur entrée en lice au Mondial-. Les joueurs de Guillaume Gille ont raté la balle de match sur la dernière possession à deux secondes de la fin, sur un tir de Timothey N’Guessan.

Large vainqueur des deux géants de Coupe du monde programmés cette année à Adelboden, Alexis Pinturault s’est dit « très fier » hier de ce doublé.

Deux victoires de suite ici, qu’est-ce que ça représente pour vous ?

Je ne suis pas sûr qu’il y aura de nouveau deux géants à Adelboden (une programmat­ion exceptionn­elle liée à la pandémie, ndlr). Donc ça fait partie de notre histoire maintenant, de celle du ski alpin, et je suis plutôt très fier de ma performanc­e sur les deux jours. Adelboden c’est une grande classique, ça fait partie des endroits où on a envie de gagner. Si on doit citer un géant, c’est celui-là. Toutes les pistes sont belles, mais ici il y a quelque chose de spécial. Avoir pu gagner deux fois ici, c’est quelque chose d’assez remarquabl­e.

Était-ce aussi facile pour vous que les écarts en donnent l’impression ?

On m’a beaucoup dit ça aujourd’hui, mais quand je descends je n’ai pas cette sensation. La deuxième manche était plus sombre qu’hier (vendredi) parce qu’on partait un peu plus tard, et la piste a marqué légèrement, donc c’était loin d’être évident.

Vous portez maintenant le dossard rouge de leader du géant, avec  points d’avance sur le Suisse Marco Odermatt. La tendance dans la spécialité s’est-elle complèteme­nt renversée ?

L’important ce n’est pas d’avoir le dossard rouge maintenant, c’est de l’avoir à la fin, donc pour l’instant je ne ressens pas grandchose. L’essentiel c’est d’être au contact, même si devant c’est mieux. Marco a toujours été sur le podium depuis le début, sauf aujourd’hui.La bagarre sera riche jusqu’à la fin, je ne m’en fais pas: les athlètes qui sont autour sont aussi très forts.

e

Classé 17e la veille, le skieur d’Isola 2000 Mathieu Faivre a pris hier la 15e place du second géant d’Adelboden. L’Azuréen enchaîne ainsi un quatrième résultat consécutif en dehors du “top 10”, après Santa Caterina (20e) et Alta Badia (16e).

Mathieu Faivre

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