Ils se battent contre la maltraitance animale
Les interdictions des animaux sauvages dans les cirques et delphinariums ainsi que les élevages de visons ont créé la polémique Elles ont été bien accueillies par de nombreux défenseurs des animaux Ces derniers fondent désormais leurs espoirs dans une proposition de loi portée, fin janvier, par le député azuréen Loïc Dombreval
Les annonces récentes sur l’interdiction des bêtes sauvages en captivité dans les cirques et delphinariums ont ravi les défenseurs de la cause animale. Enthousiasme aussitôt contredit par la princesse Stéphanie - « Le cirque a changé, ce n’est plus la chaise et le fouet » ,estimant que d’autres causes méritent au moins autant d’attention : « On s’intéresse un peu trop aux animaux et pas assez aux humains, je crois. »
Ce qui devrait mettre tout le monde d’accord, c’est la proposition de loi qui sera portée devant l’Assemblée nationale le 26 janvier, à laquelle Loïc Dombreval a largement contribué. Le parlementaire azuréen, vétérinaire de formation, a été le premier dans les Alpes-Maritimes à signer la pétition pour un référendum d’initiative partagée. Il bataillera pour que les sanctions soient alourdies à l’encontre des personnes ayant infligé un mauvais traitement fatal à un animal. Parmi les autres mesures envisagées : un certificat de sensibilisation attestant que l’on saura s’occuper d’un chien ou d’un chat avec lequel on s’apprête à passer dix à vingt ans, avant toute acquisition ou adoption.