COMMENT FAIRE?
« Lorsque j’ai été élu maire pour la première fois j’ai promis à la population l’amélioration de notre cadre de vie. Les problèmes de circulation faisaient partie des priorités. [...] C’est une étape importante qui fait partie d’un long processus d’amélioration des problématiques de circulation et en particulier de desserte de Monaco pour les pendulaires. Nous avons là un exemple concret de réussite collective. En plus d’une coopération franco-monégasque exceptionnelle. »
Jean-Jacques Raffaele, maire de La Turbie.
« C’était une provocation d’avoir une voie qui semblait tout à fait praticable et qui était interdite à la circulation. Alors qu’à côté, à la Turbie, c’était des encombrements quotidiens. On a beaucoup attendu. Si aucun incident ne trouble le déroulé prévu, la bretelle sera livrée fin . Ce sera un ballon d’oxygène pour les utilisateurs. » Jean-Claude Guibal, président de la communauté de la Riviera Française et maire de Menton
« Il fallait qu’au Ministère on comprenne qu’il y avait urgence à faire triompher ce qui nous paraissait une nécessité absolue. [...] La Principauté de Monaco est au rendez-vous, comme elle l’est toujours lorsqu’il s’agit d’équipements structurants qui sont nécessaires pour les communes limitrophes
de la Principauté. » Xavier Beck, er Vice-président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes et maire de Cap-d’Ail
« Près de personnes se rendent quotidiennement à Monaco pour des raisons professionnelles. Ce dynamisme soulève des enjeux partagés par la Principauté et la France, où la question des transports passe par l’amélioration des voies routières comme aujourd’hui. Faciliter l’accessibilité est le fruit d’un travail mené ensemble, qui va se poursuivre dans les années à venir par la création d’infrastructures lourdes mais également par des projets relatifs à la desserte par le train ou la voie maritime. » Marie-Pierre Gramaglia, conseiller de gouvernement - ministre de l’Équipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme.
« C’est la réussite d’un travail d’équipe. La mobilisation initiale des élus locaux et des services de la Préfecture, appuyée de mon intervention en tant que députée, a permis de faire changer d’avis le gouvernement. Nous avons été la seule bretelle de l’autoroute validée pour les Alpes-Maritimes en . » Alexandra Valetta-Ardisson, députée des Alpes-Maritimes