Monaco-Matin

Éric Boullier dément une rumeur et l’assure : « Il y aura un Grand Prix de France en  »

- LAURENT SEGUIN

Ce n’est pas un bruit de moteur qui vrombit depuis quelques jours aux oreilles des fans français de F1, mais plutôt une rumeur. Une surprenant­e cacophonie venue d’Angleterre pour leur annoncer qu’ils n’entendront tout simplement pas les échappemen­ts des monoplaces en 2022 sur le circuit Paul-Ricard.

Juillet n’est « pas à exclure »

Si la date du prochain Grand Prix de France n’est pas encore arrêtée, si le directeur du Grand Prix de France nous indiquait ce mercredi qu’elle « pourrait changer » (depuis son retour au calendrier du championna­t du monde de F1 en 2018, la manche française se tient traditionn­ellement en juin), et si une course en juillet n’est « peutêtre pas à exclure », une certitude s’impose aujourd’hui : « Il y aura bien un Grand Prix de France en 2022 », annonce Éric Boullier.

Un contrat jusqu’en  inclus

Le directeur du Grand Prix de France rappelle au passage que le contrat conclu avec la FOM courait sur cinq ans (et donc jusqu’en 2022) et que le Grand Prix de France « respecte ses obligation­s ». Bref, beaucoup de bruit pour rien. Alors rendez-vous dans quelques jours pour le calendrier officiel des 23 courses au programme

(1) de la prochaine saison. Avec un Grand Prix de France. 1. La divulgatio­n d’une première version du calendrier officiel fait état de 23 dates, programmée­s de mars à novembre. Cette saison, 22 dates devraient être honorées. Pour rappel, le seuil des 21 Grands Prix a été atteint à trois reprises au cours des dernières années (2016, 2018 et 2019).

Éric Boullier est formel.

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