Selon Ford, les consommateurs sont capables de s’adapter à la pandémie
2020 a été une année que personne n'avait anticipé. La COVID-19 a provoqué un chaos économique, politique et émotionnel, mettant à l'épreuve les limites des individus, des familles, des systèmes de santé et de secteurs entiers de la société. Pourtant, comme le souligne le neuvième rapport annuel "Looking Further with Ford Trends Report", la pandémie mondiale révèle également à quel point les humains peuvent être résistants pour trouver des moyens de faire face et de s'adapter. Ce rapport annuel explore la manière dont les consommateurs s'adaptent à la vie pendant la pandémie. Alors que 69% des adultes dans le monde disent se sentir dépassés par les changements qui se produisent dans le monde, lorsqu'on leur demande dans quelle mesure ils se sont adaptés aux changements pendant la pandémie, 47% disent que cela a été «plus facile que je ne l'imaginais». Le rapport met en évidence les mécanismes d'adaptation et la résilience qui sont exposés dans le monde entier. Une enquête mondiale menée dans 14 pays révèle comment les familles et les individus réécrivent les règles - sur le lieu de travail, dans leur vie de famille et dans leurs relations sociales, ainsi que dans leur consommation de biens et de services. Ford se concentre chaque année sur les tendances mondiales pour mieux comprendre comment les consommateurs évoluent, ce que l'entreprise doit comprendre à propos de l'évolution des comportements des consommateurs et ce qui va suivre en termes de connexion avec eux. Dans une enquête mondiale portant sur 14 pays, 69% des personnes interrogées se disent dépassées par les changements qu'elles voient se produire dans le monde. Lorsqu'on leur demande dans quelle mesure elles se sont adaptées aux changements survenus pendant la pandémie, 53% des personnes interrogées déclarent que l'adaptation a été "plus difficile que je ne l'avais imaginé", tandis que 47% disent qu'elle a été "plus facile que je ne l'avais imaginé". Les jeunes générations ont eu plus de mal que leurs aînés : 63% des membres de la génération Z déclarent que l'adaptation a été plus difficile qu'ils ne l'imaginaient, contre 42% des baby-boomers qui disent la même chose.