Financer une start-up pour rester «connecté»
Les entrepreneurs suisses sont moins enclins que leurs homologues américains ou asiatiques à investir dans des jeunes pousses. Mais lorsqu’ils le font, ils se montrent particulièrement convaincus de leur engagement. Ils en retirent notamment un gain en expertise et en connaissances. Un entrepreneur suisse sur trois (33%) est un business angel ou investisseur providentiel s’engageant dans des start-up, révèle une étude de HSBC Private Banking publiée mardi. A l’échelle internationale, ce taux s’élève en moyenne à 47%, et même à 66% au Moyen-Orient et à 54% aux Etats-Unis, régions les plus audacieuses à cette aune-là, dévoile l’étude.