Le penseur éthique
«Ici, tout est fait pour optimiser son temps de travail. Il n’y a aucune perte de temps dans les déplacements. C’est un espace protégé pour bosser. On te fait à manger, tu as une bibliothèque à disposition. Souvent, je travaillais le matin et le soir et nous allions découvrir Rome pendant l’après-midi.» S’il avoue avoir été parfois déçu de l’absence d’une collaboration plus étroite entre artistes et scientifiques, Johan Rochel se rappelle avoir relu des textes du peintre Mathis Gasser, qui travaille sur la science-fiction. Post-doctorant, il se doit de produire le plus d’articles possible. Environ cinq en l’espace d’un an et demi. Une phase qu’il confie être «délicate, car pleine d’incertitudes». Son sujet de prédilection reste le même: comment assurer un juste partage de l’innovation dans le monde. Afin de l’explorer, il a également monté un laboratoire d’éthique de l’innovation baptisé Ethix.
«Ici, tout est fait pour optimiser son temps de travail. Il n’y a aucune perte de temps dans les déplacements. C’est un espace protégé pour bosser. On te fait à manger, tu as une bibliothèque à disposition. Souvent, je travaillais le matin et le soir et nous allions découvrir Rome pendant l’après-midi.» S’il avoue avoir été parfois déçu de l’absence d’une collaboration plus étroite entre artistes et scientifiques, Johan Rochel se rappelle avoir relu des textes du peintre Mathis Gasser, qui travaille sur la science-fiction. Post-doctorant, il se doit de produire le plus d’articles possible. Environ cinq en l’espace d’un an et demi. Une phase qu’il confie être «délicate, car pleine d’incertitudes». Son sujet de prédilection reste le même: comment assurer un juste partage de l’innovation dans le monde. Afin de l’explorer, il a également monté un laboratoire d’éthique de l’innovation baptisé Ethix.
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