La Presse (Tunisie)

«Deux mi-temps, deux profils»

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« Nous avons assuré l’essentiel en première période et géré la seconde. Deux mi-temps, deux profils. Les joueurs ont commencé à penser au match de samedi et c’est pour cela qu’il y a eu une baisse de régime. Le Burkina Faso ? Il a mérité sa qualificat­ion tout comme la Tunisie ». Youssef Msakni : « Une gestion optimale » «Nous avons assuré l’essentiel! Nous avons vaincu, géré et convaincu malgré la baisse de régime enregistré­e en fin de match à cause de l’agressivit­é de l’adversaire. Maintenant place aux quarts de finale» .

Naim Selliti: « Il faut récupérer »

«Notre qualificat­ion est méritée. Nous avons évolué dans un groupe difficile et avons su nous en sortir. Maintenant, il faut bien récupérer et se concentrer sur le match de samedi prévu face au Burkina Faso» . Hatem Missaoui : « Forts sur le plan technique » «La prestation a été bonne car nous possédons des joueurs forts

sur le plan technique qui savent jouer dans les petits espaces. C’est pour cela que nous avons abandonné le 5/4/1. Nous n’avons rien fait de spécial. Il faut corriger nos erreurs et préparer le prochain match qui s’annonce difficile face à un adversaire très solide» . Hamdi Nagguez : « Conscients de notre potentiel » «Nous sommes tous contents. Nous avons su aborder la rencontre et mettre fin au suspense dès la première période. Le Burkina Faso sera difficile à battre lors des quarts de finale, il faudra sortir un grand match. Nous sommes confiants et conscients que nous sommes capables d’aller plus loin» . Ali Maâloul : « Ascendant d’entrée » «Marquer rapidement facilite les matchs. L’ascendant a été pris assez tôt. Heureuseme­nt que la réussite était là. Nous voulons aller le plus loin possible et pour cela il faudra battre le Burkina Faso qui est un adversaire à prendre très au sérieux» . Rami Jeridi : «Et maintenant, au travail ! » «N’importe quel gardien souhaite que son équipe n’encaisse pas de buts. Il y a eu un relâchemen­t que je comprends après le quatrième but. Maintenant, au travail car le Burkina Faso est solide» . Aymen Mathlouthi : «La montée en puissance » «Notre niveau s’améliore au fil des matchs. On monte en puissance. On s’est facilité la tâche en marquant rapidement. Nous savions que le match était difficile car toutes les équipes étaient concernées par la qualificat­ion mais je pense que quand nous sommes en forme, notre équipe devient très solide» .

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Henry Kasperczak satisfait de la gestion des temps forts de la rencontre face au Zimbabwe

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