Benzarti, un entraîneur entraînant…
affronter un nouveau challenge. Il doit encore aller de l’avant tout en imposant ce
L’histoire et le parcours de l’Espérance sont toujours un sujet de réflexion. Tout ce qui se conçoit aujourd’hui rappelle les exploits, les acquis et les réalisations d’une équipe condamnée à ne jamais abdiquer. Une équipe concernée non seulement par les résultats, mais aussi par la manière avec laquelle ils sont obtenus. A l’EST, comme rarement dans d’autres équipes, on ne gagne pas sans convaincre. Il y a de ces impératifs de jeu et de rendement qui vont au-delà de la simple présence sur le terrain, au-delà de ce qui est même permis. Chaque étape implique de nouvelles exigences de jeu et d’accomplissement. La raison d’être de l’équipe espérantiste se situe dans ce besoin permanent de se surpasser, d’aller jusqu’au bout. Le portrait d’un ensemble avec la plus extrême détermination, qui défend sans calculs et sans la moindre retenue ses couleurs. Des hommes formatés pour gagner et pour faire honneur à leur club, à la mission dont ils sont investis. Dans un environnement qui rend la défaite inacceptable, seule l’application sur le terrain reste déterminante. Cela défie certainement la logique sportive. Mais pas celle du football comme il est préconisé et aussi revendiqué par l’EST, du sensible au courage, à la résolution et à la ténacité.
Les exigences du haut niveau
La présence de Faouzi Benzati répond assurément aux impératifs qui ne cessent de faire courir l’équipe. Ce n’est pas nouveau. L’Espérance a pris l’habitude de jouer sur plusieurs fronts. Plus encore : la plupart du temps à un niveau élevé. Benzarti sait parfaitement à quoi s’en tenir. Son équipe aurait toujours besoin de certitudes. Elle est dans l’obligation de montrer de belles choses, de profiter des espaces de maîtriser la balle. C’est, en effet, important de gagner avec la manière. Il n’y en a pas de plus significatif pour la confiance, pour le mental, pour le parcours. En un mot, tout ce qu’il faut pour être performant. Il sait aussi que l’équipe dont il assume aujourd’hui la responsabilité technique est attendue, peut-être plus que dans le passé, du moment où il est sur le banc. Compte tenu de ses exigences et des impératifs qui pointent à l’horizon et qui peuvent avoir d’autres significations par rapport au passé, lui et son équipe joueront pour gagner et pour ne pas perdre, c’est une évidence, mais ils ne doivent pas non plus se démarquer de la nécessité de faire le jeu et de s’épanouir sur le terrain. Surtout quand il y a suffisamment d’arguments et de moyens à valoriser. Sous sa conduite, l’on s’attend à ce que l’EST sorte le grand jeu, revendique une nouvelle ligne de conduite sur le terrain, une nouvelle raison d’être. Du jeu, de l’inspiration, mais aussi de la rigueur. Il y va de la crédibilité d’un entraîneur qui n’a d’autre alternative que de réussir là où il passe. Plus encore, de tout ce qui pourrait conditionner et orienter l’avenir de l’équipe sous sa direction. L’histoire nous a souvent offert de bien édifiants exemples d’entraîneurs qui avaient outre le fait qu’ils avaient laissé leurs empreintes, ils se sont aussi engagés au pro- fit de stratégies et d’approches valorisées. Benzarti devrait être de ceux-là. De nouvelles perspectives commencent à se dessiner, notamment au vu des dernières prestations et qui laissent croire que les joueurs sont bel et bien en mesure de forcer la décision. De retour à l’EST, il continue à incarner le statut d’entraîneur toujours prêt à affronter un nouveau challenge. Benzarti doit encore aller de l’avant tout en continuant à imposer ce condensé de fraîcheur et de rigueur qui fait à la fois la force et le charme d’une équipe comme l’EST. Une équipe qui ne peut se priver ni de l’équilibre ni de la justesse du jeu indiqué. Ni encore de la solidité nécessaire, de la force mentale indispensable dans le combat…
Il n’y a jamais eu de contact avec le Zamalek. C’est un très grand club, mais cette histoire est inventée de toutes pièces» , a-t-il déclaré. Mais il a précisé : «Lorsque je recevrai une offre, je vous dirai si je vais accepter ou non».
Équipe de Tunisie : vers la nomination de Nader Daoued ?
Le staff technique de la sélection tunisienne de football sera bientôt renforcé. Selon des sources proches de la FTF, c’est le nom de Nader Daoued qui a été évoqué ces derniers jours. Le technicien devrait avoir une proposition pour occuper le poste de deuxième coach adjoint. Il sera donc aux côtés de Hatem Missaoui, au cas où ce dernier serait maintenu.
L’OB interdit de recrutement !
Verdict reporté dans l’affaire Mohsni. La commision nationale des litiges a informé l’Olympique de Béja qu’il est interdit de recrutements tant qu’il n’a pas versé à son ancien joueur, Mohamed Bechir Guesmi, 8.513 dinars. Dans l’affaire Bilel Mohsni, la commission a fait savoir qu’elle rendra son verdict le 25 mars.
Passe décisive de Driss Mhirsi
La passe décisive d’Idriss Mhirsi a été insuffisante au Red Star pour remporter son match face à Starsbourg dans le championnat de Ligue 2. Le tunisien a délivré sa passe à son coéquipier Toudic à la 16e minute. Mais en fin de match, Starsbourg a égalisé la marque par Bahoken à la 83e minute. En présence de Larry Azouni, Nîmes a quant à lui pu remporter un point de son déplacement chez Troyes. Ce match s’est terminé sur un score vierge.
Seulement 5 minutes pour Selliti
Pour sa première sur le banc du LOSC, Franck Passi a obtenu les trois points de la victoire face à Caen grâce à un but d’El Ghazi. Le milieu offensif tunisien, Naim Sliti a disputé les cinq dernières minutes de la rencontre. En face, Alaedine Yahia a joué, mais pas Syam Ben Youssef. Lille est 14e avec 29 points alors que Caen est 18e avec 25 points.
CSS et ESS : Young Sport et l’AS Tanda au menu Le Club Sportif Sfaxien affrontera l’équipe camerounaise Young Sports Academy lors du prochain tour de la Coupe de la CAF, et ce, suite au match retour du tour préliminaire, disputé samedi dernier. L’Etoile Sportive du Sahel affrontera quant à elle, l’AS Tanda (Côte d’Ivoire) lors du prochain tour de