Vivement les vacances
Juste après un repos salvateur de onze jours, les joueurs sfaxiens reprendront le chemin du stade…
Les «Noir et Blanc» sont entrés en congé annuel depuis dimanche dernier, soit jsute après le match qu’ils avaient disputé la veille contre la Mouloudia d’Alger, entrant dans le cadre de la compétition panafricaine de la CAF…Un repos du guerrier en sorte, puisque d’autres échéances les attendent dans le cadre d’un tournoi international qu’organise l’équipe saoudienne de la ville de Tabouc, au début du mois d’août prochain. Ce qui nécessite une préparation spéciale pour être en mesure d’honorer leurs engagements. Celle-ci sera entamée le vendredi 21 juillet et se poursuivra jusqu’au samedi 29 juillet, date fixée pour le départ en Arabie Saoudite, avec pour intermède un match-test qui sera disputé face au CABizertin, le vendredi 28 juillet. Ce sera l’occasion pour l’entraîneur, José Da Mota, de se fixer sur le degré de forme de ses joueurs, avant le match d’ouverture qu’ils auront à disputer dans le cadre de ce tournoi international contre l’équipe saoudienne, «Echabab», programmé le mercredi 2 août au stade de la ville sportive portant le nom du roi Khaled à Tabouc. D’autres échéances sont aussi programmées dans le cadre de cette épreuve qui se poursuivra jusqu’au lundi 7 août, date fixée pour la finale du tournoi.
Des renforts en vue
Quoique privé de recrutements au cours du mercato estival, le CSS n’a pas manqué de superviser certains joueurs avec lesquels il vient de signer des pré-contrats, entrant en vigueur à partir du mois de janvier prochain. Parmi ceux-ci, on relève les noms des deux joueurs de la JSK, Aymen Harzi (un avant) et Mohamed Ali Ragoubi (joueur de couloir). Un autre joueur, appartenant à l’ASAriana, Malek Boulaâbi, en l’occurrence, vient aussi d’être contacté pour signer un pré-contrat avec le club, comme c’est aussi le cas pour le demi offensif égyptien, Khalil Haj Minar.
De bons signes
Entre-temps, ce sont des jeunes du cru qui ont été appelés en renfort pour pallier certaines défaillances dans l’équipe. L’occasion a été propice pour Firas Chaouat, Walid Karoui, Houssem Dagdoug, Héni Amamou et Houssem Ben Ali de faire montre des dispositions prodigieuses. Comme quoi, la valeur des uns n’attend pas le nombre des années. Ce qui amène à dire : «A quelque chose malheur est bon», comme le stipule le vieil adage.
Dettes à payer
Elles vont de l’ordre d’un milliard 100 millions de nos millimes que le club se doit de payer avant la fin du mois en cours à leurs pourvoyeurs pour éviter de nouvelles sanctions draconniennes de la Fifa, après celles qui l’avaient privé de tout recrutement durant six mois.