Le public au rendez-vous, comme toujours
• Une session fortement critiquée, notamment de par son organisation et le choix de ses films dans la sélection officielle des courts métrages et des documentaires. • Moins de strass et de paillettes et moins de starlettes TV est un côté à saluer dans ce
Le Tanit d’0r pour «The train of salt and sugar» de Licinio Azevedo (Mozambique)
• Le Tanit d’0r pour «The train of salt and sugar» de Licinio Azevedo-Mozambique
• Une session fortement critiquée notamment de par son organisation et le choix de ses films dans la sélection officielle des courts métrages et des documentaires.
• Moins de strass et de paillettes et moins de starlettes TV est un côté à saluer dans cette session Le rideau est tombé hier soir sur la 28e session des JCC qui a démarré le 4 novembre. Une avenue Bourguiba animée à l’occasion et un dispositif de sécurité qui a assuré pendant toute la soirée. C’est au Théâtre municipal de Tunis d’abriter cette cérémonie de clôture qui a rassemblé les invités du festival et les passionnés du 7ème art. Une cérémonie de clôture qui n’a pas voulu s’étaler en faisant le choix de ne pas intégrer les prix parallèles et de les décerner le vendredi soir à Gammarth. Pas de film de clôture non plus pendant cette cérémonie. Une session qui a fait retrouver aux JCC leur dimension tri-continentale tout en renforçant la présence des films africains. Mais c’est aussi une session fortement critiquée, notamment de par son organisation et le choix de ses films dans la sélection officielle des courts métrages et des documentaires. Cela dit, dans la section longs métrages de fiction (même s’il ne sont pas dans la sélection officielle) certains films ont pu marquer les cinéphiles. On croit savoir aussi que la mission du jury long métrage fiction n’a pas été facile et que la décision des prix à décerner était difficile à prendre. Une session fortement critiquée également pour son film d’ouverture de Rachid Macharawi dont le niveau a carrément déçu. Certains professionnels n’ont pas pu comprendre les raisons de ce choix... Cela dit, le festival a gagné comme toujours le pari du public. Un public qui a assuré et dont l’affluence a étonné plus d’un visiteur étranger. Moins de strass et de paillettes et moins de starlettes de télévisions est un côté à saluer dans cette session. Le jury compétition longs métrages et courts métrages de fiction est composé de : Michel kheleifi (Palestine) Félicité Wouassi Cameroun, Rabiaaa Ben Abdallah, (Tunisie) Pablo César Argentine, Kamela Abou Zekri (Égypte), Mama Keitha (Sénégal ), Hassen Ben Jalloun (Maroc). Le jury compétition longs métrages et courts documentaires sont : Thiery Michel (Belgique), Jahane Tahri (Égypte), Baba Diop (Sénégal), Tark Ben Abdallah (Tunisie), Gérard Peary (USA). Le jury de la compétition première oeuvre «Tahar Cheriaa» est composé de : Hakim Ben Hammouda (Tunisie), Rokhaya Niang (Sénégal) et Héla Lotfi Égypte. Voici le palmarès de cette session.