Tataouine : 2 MD pour la promotion de l’élevage de dromadaires
L’Office de l’élevage et des pâturages alloue une enveloppe de deux millions de dinars, au titre de l’année 2018, pour la promotion de l’élevage de dromadaires à Tataouine, région dotée de pas moins de 1,5 million d’hectares de pâturage. Ces investissements seront destinés, notamment, à la mise à niveau du marché au bétail et de l’abattoir municipal à Tataouine, et d’un autre abattoir à Ghomrassen. En outre, il sera procédé à l’aménagement d’un pavillon autour du dromadaire, au musée de l’environnement, à la réserve naturelle d’Oued Dkouk (à 40 km au sud de la ville de Tataouine), pour mettre en valeur ce patrimoine biologique de la région. Afin de renforcer les systèmes de pompage d’eau pour le pâturage à Dhaher et Ouara, l’Office a participé à l’installation de trois générateurs électriques solaires à Ouakr (délégation de Dhéhiba), à Bir Maleh et à Hassi Chajara (délégation de Tataouine-Nord) et projette de construire des réservoirs d’eau à Bir Jedidi et Chikma Baydha et d’y installer des panneaux solaires. fabrication, pour la première fois en Tunisie, de nouvelles formes galéniques dont les soft gelatin et les poudres pour inhalation. La réalisation de cette usine représente la première phase d’un projet d’extension pour le renforcement des capacités industrielles des laboratoires SAIPH, suivie d’une deuxième phase pour l’extension des lignes de production des formes stériles (injectables, ophtalmiques et des céphalosponnes). C’est un projet en cours de réalisation avec des investissements estimés à 25 millions de dinars et dont la fin des travaux est prévue début de 2019, ajoute la même source. Dans la perspective du développement de son activité export, SAIPH a également démarré en juillet 2017 sa première filiale internationale avec notamment la construction d’une usine de fabrication de médicaments en Côte d’Ivoire et la mise en place d’une plateforme de distribution de ses produits vers toute l’Afrique de l’Ouest, moyennant un investissement de 15 millions d’euros. Ce projet entrera en activité en septembre 2019. Plus de 250 personnes, dont 70% sont des Tunisiens, seront prochainement recrutées pour assurer le fonctionnement de ces nouvelles installations, souligne le communiqué. crée à l’approbation de l’adhésion de la Tunisie à la convention de Montréal sur le transport aérien, que « la libéralisation du ciel tunisien en cours de négociation avec l’Union européenne (UE) permettra de dynamiser le transport aérien tunisien, en l’occurrence les vols internes». Il est à noter que l’Accord sur l’open sky ou ciel ouvert concernera tous les aéroports tunisiens, à l’exception de l’aéroport international Tunis-Carthage. Rejeb a, par ailleurs, affirmé que Tunisair maintiendra le tarif du vol entre l’aéroport de Carthage et celui de Tozeur-Nefta, évoquant des problèmes structurels dans plusieurs aéroports tunisiens (défaillance de la flotte et irrégularité des vols et de leur rendement...).