Pollution des plages
Des usines de transformation de tomates continuent à déverser leurs déchets dans l’oued qui débouche sur le front de mer de la ville de Kélibia. La pollution par les tomates pourries bat son plein dans l’indifférence totale. Les autorités concernées et les associations doivent réagir pour mettre fin à cette catastrophe écologique en réfléchissant à des alternatives permettant de limiter la pollution des plages sans que cela ne porte atteinte au rendement de ces usines.