La Presse (Tunisie)

La Tunisie lauréate

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Le jury a décidé «à l’unanimité» de décerner le Prix Ibn Khaldoun-senghor 2018 à la traduction du français vers l’arabe de l’ouvrage «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative». Il a félicité l’institut de traduction de Tunis pour l’effort qu’il ne cesse de déployer en faveur de la traduction entre le français et l’arabe, et d’avoir présenté de nombreuses candidatur­es de très bonne qualité.

La remise du Prix de la traduction Ibn Khaldounse­nghor 2018 aura lieu aujourd’hui, au siège de l’organisati­on arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (Alecso). La traduction du français vers l’arabe de l’ouvrage de sciences sociales intitulé «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative» (Sylvie Patron), réalisé collective­ment sous la direction du Tunisien Mohamed Elkadhi, a remporté le Prix de la traduction Ibn Khaldoun-senghor 2018.

Cette traduction arabe intitulée «Arraoui, madkhal ela annadharya assardya» a été publiée en 2017 par l’institut de traduction de Tunis, auprès des Editions Cenatra.

Le jury a décidé «à l’unanimité» de décerner le Prix Ibn Khaldounse­nghor 2018 à la traduction du français vers l’arabe de l’ouvrage «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative». Il a félicité l’institut de traduction de Tunis pour l’effort qu’il ne cesse de déployer en faveur de la traduction entre le français et l’arabe, et d’avoir présenté de nombreuses candidatur­es de très bonne qualité.

La remise du Prix de la traduction Ibn Khaldoun-senghor 2018 aura lieu aujourd’hui, au siège de l’organisati­on arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (Alecso). La traduction du français vers l’arabe de l’ouvrage de sciences sociales intitulé «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative» (Sylvie Patron), réalisé collective­ment sous la direction du Tunisien Mohamed Elkadhi, a remporté le Prix de la traduction Ibn Khaldoun-senghor 2018. Cette traduction arabe intitulée «Arraoui, madkhal ela annadharya assardya» a été publiée en 2017 par l’institut de traduction de Tunis, auprès des Editions Cenatra. Elle est l’oeuvre collective de quatre chercheurs universita­ires, sous la direction de Mohamed Elkadhi, docteur en littératur­e arabe. Une cérémonie officielle aura lieu aujourd’hui, au siège de l’alecso pour la remise dudit Prix de la traduction. L’annonce du prix a été faite à l’issue de la réunion du jury du Prix de la traduction littéraire et en sciences humaines Ibn Khaldoun-senghor, du français vers l’arabe et de l’arabe vers le français, sous la présidence du Tunisien Mohamed Mahjoub, lit-on sur le site de l’organisati­on internatio­nale de la francophon­ie (OIF). Le jury était réuni le 15 octobre 2018, au siège de L’OIF pour désigner le lauréat de la 11e édition du Prix, et ce, à l’invitation de L’OIF et de l’alecso. Le jury a décidé «à l’unanimité» de décerner le Prix Ibn Khaldoun-senghor 2018 à la traduction du français vers l’arabe de l’ouvrage «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative». Il a félicité l’institut de traduction de Tunis pour l’effort qu’il ne cesse de déployer en faveur de la traduction entre le français et l’arabe, et d’avoir présenté de nombreuses candidatur­es de très bonne qualité. Une mention spéciale a été accordée à Rania Samara pour sa traduction de l’arabe vers le français du roman d’elias Khoury «Les enfants du ghetto. Je m’appelle Adam», paru en 2017 chez Actes Sud.

Dans la copie française de l’ouvrage «Le narrateur, introducti­on à la théorie narrative», l’auteure s’intéresse à la question du narrateur dans le récit de fiction. Sylvie Patron étudie la conception et le rôle du narrateur dans les principale­s théories narratives contempora­ines, et propose les éléments d’une problémati­sation linguistiq­ue et pragmatiqu­e de la question du narrateur. Le Prix de la traduction Ibn Khaldoun-senghor en sciences humaines a été créé en 2008, conjointem­ent par l’organisati­on internatio­nale de la francophon­ie (OIF) et l’organisati­on arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (Alecso). Ayant pour objectif de promouvoir la diversité culturelle et linguistiq­ue et d’encourager les échanges culturels et littéraire­s entre le monde arabe et l’espace francophon­e, ce prix récompense la traduction d’une oeuvre du français vers l’arabe et de l’arabe vers le français.

Le Prix de traduction Ibn Khaldoun-senghor est décerné annuelleme­nt en alternance : du français vers l’arabe et de l’arabe vers le français. Il est régi par un règlement approuvé par les deux partenaire­s. Il consiste en un diplôme signé par le secrétaire général de L’OIF et par le directeur général de l’alecso et une bourse d’un montant de 10.000 euros.

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