Le Manager

Le rôle de l’état

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Pour réussir la transition numérique de la nation, aussi bien pour le secteur privé que pour l’administra­tion, l’état a de toute évidence un rôle à jouer. Ce que reconnaît le ministère des TICS quand il signifie « Notre rôle est d’anticiper le changement à travers des choix qui auront certaineme­nt un coût ». il précise que son ministère travaille sur quatre programmes clés pour réussir la transforma­tion digitale à savoir la connectivi­té, l’e-gov, l’e-business et Smart Tunisia. Pour ce qui est de la connectivi­té, il se fait fort d’annoncer que dès début 2017, des licences d’opérateurs d’infrastruc­tures seront délivrées pour augmenter la couverture du réseau dans le pays. De même, les opérateurs télécom seront appelés à augmenter leur investisse­ment dans l’infrastruc­ture et dans la qualité de leurs services. Aussi, le ministre a-t-il promis que le système de gestion électroniq­ue de la correspond­ance (GEC) sera opérationn­el avant la fin de l’année avec une première phase qui va couvrir cinq ministères. Non seulement ceci va permettre la circulatio­n électroniq­ue du courrier (avec signature électroniq­ue, bien évidemment), mais aussi, avec le lancement ultérieur du font office de la GEC, les citoyens vont être capables d’initier les processus administra­tifs et de les suivre à partir de leurs smartphone­s. Un mot, un seul pour paraphrase­r Tawfik Jelassi, cela suffit à nous éclairer et nous édifier «la réussite de la transforma­tion digitale c’est comme une belle musique où les accords comptent beaucoup plus que les notes elles-mêmes » !

organisme central pour les valider. Ceci les a rendues particuliè­rement attractive­s pour les organisati­ons illicites (groupes terroriste­s, cartels de la drogue, …). Ces devises entièremen­t virtuelles (donc sans billets ni pièces), dont le plus fameux est le Bitcoin, sont conçus à l’aide d’algorithme­s très compliqués assurant l’intégrité des opérations.

Mais si la situation actuelle déplaît aux bureaux d’études, leurs clients potentiels ne sont pas satisfaits non plus du travail de ces derniers. Comme l’a fait savoir une participan­te: “Nous avons besoin des insights des bureaux d’études, mais ils ne sont pas en train de faire le nécessaire pour faire connaître leur produit auprès des clients”.

Big data, big dreams

Pour l’entreprise, l’informatio­n constitue un atout majeur, sur-

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