Deux semaines d’absence pour Khélifa
Le Club Africain sera privé de Saber khélifa lors de la prochaine journée. Face à L’ES Métlaoui, l’international tunisien brillera par son absence pour des problèmes de dos. Khélifa sera absent lors des deux prochaines sorties clubistes et devrait retrouver la compétition lors du derby face à l’espérance. Le forfait de Khélifa n’arrangera pas les affaires de Kaïs Yaakoubi qui aura du mal à remplacer son meilleur atout offensif. Le choix pour le technicien clubiste ne sera pas important d’autant plus que Miniaoui sera, lui aussi, absent. Cela devrait permettre à Jaziri et Srarfi d’être aligné sans trop se soucier.
Yâakoubi parle trop ! C’est du moins l’avis du président clubiste Slim Riahi qui aurait demandé à son entraîneur de s’adresser un peu moins aux médias. De donner moins de déclarations. C’est une requête un peu bizarre de la part d’un président à son entraîneur. Yâakoubi parle peut-être beaucoup, mais bien. D’ailleurs, il en a fait, pendant des années, un métier. Et par les temps qui courent, il ne faut pas avoir sa langue dans sa poche…
Retour de Belkhither et Chenihi La formation qui sera alignée ce dimanche face à L’ES Métlaoui sera fortement remaniée puisqu’outre les absences de Miniaoui, on enregistrera le retour de Chenihi et Belkhither qui étaient sur le banc des remplaçants lors de la dernière sortie clubiste. En somme, au moins cinq nouveautés sont attendues ce dimanche face L’ES Métlaoui entre retours et forfait.
Entre Bessan et Ben Othman La concurrence sera rude lors des prochaines journées entre l’algérien Ben Othmene et Bessan. Une seule place à prendre entre ces deux étrangers. Belkhither et Chenihi étant certains d’être titularisés d’entrée de jeu. Une chose est sure, Bessan doit se reprendre car avec son rendement actuel, il risque gros et il a encore une toute petite marge de manoeuvre car Ben Othman n’est pas encore au mieux sur le plan physique. Quand il retrouvera tous ses moyens, il finira par s’imposer.
Jaziri a besoin de soutien L’attaquant du Club Africain Jaziri a besoin du soutien de son entraîneur, des responsables et surtout des supporters qui le critiquent pour la moindre faute. On ne lui pardonne rien et il est automatiquement sifflé et hué pour la moindre perte de balle. Il faut l’aider à évoluer sereinement sans aucune pression sur les épaules. Celle des matches suffit amplement et celle du public ne sert qu’à le rendre encore plus nerveux et moins précis dans tout ce qu’il entreprend. Ce dimanche servira peut-être à réconcilier Jaziri avec le public clubiste. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.