Quatre mosquées fermées en région parisienne
Quatre mosquées soupçonnées de radicalisation ont été fermées hier en région parisienne. Dans la salle de prières de Clichy-sous-bois (Seinesaint-denis), il ne reste plus que quelques affaires de fidèles. Ce lieu de culte a été fermé hier, car à l'intérieur, des prêches très radicaux auraient été tenus pendant plusieurs semaines. Près de l'entrée, un fidèle affirme que l'imam n'avait pourtant rien de suspect. "C'était un imam normal", lance-t-il à France 3.
Pourtant, le propriétaire du local qui abrite la salle de prières avait déjà décidé de fermer l'endroit avant même la décision administrative. Ce n'est pas le seul lieu de prière en Ile-de-france à être suspecté de promouvoir un islam radical. Ce sont quatre mosquées qui ont fermé hier. Dans un communiqué, Bernard Cazeneuve justifie sa décision : "Sous couvert de but cultuel, ces lieux abritaient des réunions visant en réalité à promouvoir une idéologie radicale, contraire aux valeurs de la République et susceptible de constituer un risque grave d'atteinte à la sécurité et à l'ordre publics".
Afrique du sud Cela fait suite à la publication d'un rapport sur des accusations de trafic d'influence exercé par une riche famille d'hommes d'affaires dans la désignation de membres du gouvernement. Le rapport ne met pas en cause explicitement Jacob Zuma mais il vient alimenter les appels en faveur d'une démission du chef de l'etat. Président depuis 2009, Jacob Zuma, 74 ans, a déjà été mis en cause dans plusieurs dossiers mais a toujours réussi à en sortir sans dommage avec le soutien de la direction du Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir. Mais la persistance d'un chômage de masse et le mécontentement provoqué par ces scandales à répétition placent cette fois le chef de l'etat dans une position plus délicate.
Air France national du personnel navigant. Les contours du projet restent encore à préciser, c'est tout l'enjeu des négociations qui vont débuter entre les syndicats et la direction.
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